Fin d'une semaine placée sous le signe de la rentrée avec, entre autres rendez-vous et réunions :
🔹 Lundi : Collège communal & Commission éducation au Parlement de la Fédération Wallonie - Bruxelles
🔹 Mardi : un saut en commission "Enfance" pour interroger la Ministre Valérie Lescrenier sur l'avenir des co-accueils mais aussi les vœux du MR - Mouvement Réformateur Namur, qui étaient organisés cette année dans notre belle ville de Ciney. 🔹 Mercredi : Séance plénière FWB
La réforme du qualifiant, prévue dans le Pacte d’excellence initié par la Ministre Caroline Désir et poursuivi par la Ministre Glatigny, soulève beaucoup d’inquiétudes et de questions.
Quel avenir pour les terrains de football synthétiques en Wallonie ? « Des solutions moins coûteuses existent » avance Valérie Warzée-Caverenne, Députée-Bourgmestre de Hamois.
Fin 2023, la Commission européenne interdisait les microplastiques de remplissage pour les terrains de sport synthétiques : une nouvelle règlementation qui implique que les clubs devront (d’ici 2031) se conformer à de nouvelles normes. Les granulats en caoutchouc qui sont actuellement utilisés pour lester les gazons synthétiques devront être remplacés par des produits composés de fibres organiques d'origine végétale (liège, coco, rafles de maïs, etc.). Louable sur le plan environnemental, cette initiative peut induire des difficultés et d'importants surcoûts à l’échelle locale.
« Prenons l'exemple du terrain de football d'Hamois » explique Valérie Warzée-Caverenne. « Construit il y a plus de dix ans, il commence à montrer des signes d'usure. Remettre le gazon à neuf en intégrant un remplissage écologique est l’idée qui a été envisagée en première intention. Coût de l’opération : environ 700 000 euros. Un montant qui s’explique par le fait que le terrain actuel est en pente et que cette déclivité provoquerait en l’état le glissement de granulés d’origine organique. Solution : reniveler au préalable le coffre pour contrer ce phénomène. Un procédé qui engendre une explosion des coûts pour les communes confrontées à cette situation (car précisons que la commune d’Hamois n’est pas un cas isolé).
FWB | Ecriture inclusive dans les écoles : où en est-on?
Le 13 novembre 2024, en séance plénière du Parlement FWB, j’ai pu interroger la Ministre Glatigny en lien avec l’usage de l’écriture inclusive dans l’enseignement fondamental.
En effet, dans un article paru début novembre, « La Dernière Heure » avait pointé la division du corps enseignant face à cette problématique. D’une part, ceux qui pensent que l’écriture inclusive apporte de la confusion dans l’apprentissage de la langue (et notamment de la ponctuation) par les plus jeunes ; d’autre part, ceux qui tiennent à la mettre en avant, notamment par le biais de l’usage du point médian, pour valoriser les acquis obtenus sur le front de l’égalité des genres.