Chers amis, 4 points ont particulièrement retenu mon attention cette semaine :
Premièrement, la dette wallonne. Je vous faisais part il y a peu de mon inquiétude quant au niveau de celle-ci : 21 milliards. Or, la Wallonie ne dispose toujours pas d’une Agence de la Dette qui, à l’instar de ce qui se fait au fédéral depuis des années, permettrait pourtant d’anticiper les difficultés. La coalition PS-cdH n’apporte pas de réponse structurelle et se trouve aujourd’hui avec le risque d’un nouvel abaissement de sa note financière. A l’entame de la législature, elle s’engageait pourtant à « éviter de reporter sur les générations futures des charges excessives ». Je demande au Gouvernement d’agir en la matière.
Chers amis,
Le travail en commission a repris son cours cette semaine. J’ai assisté aux travaux des commissions de l’Education et du Budget au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Depuis l’été, j’ai adressé un certain nombre de questions à la Ministre de l’Education, Marie-Martine Schyns. A défaut de réponses et/ou de solutions concrètes et satisfaisantes sur les grands dossiers du moment (la pagaille suite à l’entrée en vigueur du décret titres et fonctions et les incertitudes persistantes relatives au cours de philosophie et de citoyenneté), je continue à l’interpeller régulièrement afin de débloquer certaines situations délicates pour les acteurs de l’enseignement. Je ne manquerai pas de vous tenir informés.
Chers amis,
C’est une semaine de rentrée qui vient de s’achever au Parlement de Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles. L’occasion pour moi de vous communiquer les points qui ont particulièrement retenu mon attention.
Premièrement, l’aggravation du déficit wallon qui se porterait pour 2017 à 640 millions d’euros d’après les révélations du journal l’Echo. Cette difficulté s’ajoutant à la lourdeur de la dette wallonne qui avoisine les 21 milliards… ! Ce que je dénonce est que le Gouvernement wallon préfère aujourd’hui taxer de manière « déguisée » - comprenez, de manière indirecte – plutôt qu’entreprendre les réformes nécessaires.